Meilleur logiciel PA/PDP pour ETI
Solutions de facturation électronique pour ETI. Intégration ERP SAP/Oracle, gestion multi-sites et multi-pays, traitement de volumes élevés.
YOOZ PDP
Plateforme factures fournisseurs
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Meilleur logiciel PA/PDP pour Experts-comptables
TESSI Technologies
Traitement documents numériques
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Meilleur logiciel PA/PDP pour Grandes entreprises (+5000 sal)
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IVALUA
Achats ETI GE
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ESKER
Automatisation achats GE
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BASWARE
Automatisation achats GE
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AGICAP
Gestion trésorerie PME
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Tableau Comparatif des Fonctionnalités
Fonctionnalité
Facture Pro
Chorus Pro
QuickFacture
AutoEntrepreneur.fr
ComptaGest
Conformité 2026
Interface intuitive
Application mobile
Relances automatiques
Support en français
Offre gratuite
F.A.Q
Questions fréquentes
Comment intégrer la facturation électronique avec notre ERP SAP ou Oracle existant ?
L'intégration de la facturation électronique dans un environnement SAP ou Oracle est un projet d'envergure nécessitant une approche architecturale structurée. Pour SAP, SAP propose sa propre solution via SAP Document and Reporting Compliance (DRC), qui s'intègre nativement avec SAP ECC et SAP S/4HANA. Cette solution utilise l'eDocument Framework pour créer les factures électroniques directement depuis les modules FI/SD, l'Application Interface Framework (AIF) pour le mapping et contrôles, et SAP Cloud Platform (BTP) comme passerelle sécurisée vers les PDP françaises et Chorus Pro. L'avantage : vous restez dans l'univers SAP standard sans développements spécifiques lourds, avec mise à jour réglementaire automatique.
Pour Oracle, Oracle propose des connecteurs natifs via Oracle E-Business Suite ou Oracle NetSuite. Des acteurs comme EDICOM ou Esker offrent des solutions middleware s'intégrant parfaitement avec Oracle, gérant la transformation des formats (EDIFACT, UBL, CII, Factur-X), la validation fiscale et commerciale automatique, et la transmission sécurisée vers les PDP.
Approche par middleware : quelle que soit votre solution ERP, privilégiez une architecture en trois couches : ERP (source de vérité des données financières), plateforme e-invoicing (traduction, validation, orchestration) avec des acteurs comme EDICOM, Esker ou Basware, et PDP ou connexion directe PPF pour transmission à l'administration.
Points d'attention : gérez les différences entre versions d'ERP et les customisations existantes ; planifiez 12-18 mois pour le projet complet incluant phase pilote ; budgétisez 50 000 à 200 000 € selon périmètre et complexité ; et impliquez DSI, Direction financière et Direction fiscale dès le départ. Beaucoup d'ETI sous-estiment la complexité – faites-vous accompagner par un intégrateur expérimenté.
Comment gérer la facturation électronique sur plusieurs sites et plusieurs pays ?
La gestion multi-sites et multi-pays de la facturation électronique représente un défi organisationnel et technique majeur pour les ETI. La France n'est qu'un des nombreux pays imposant la facturation électronique – l'Italie, l'Espagne, la Pologne, et bientôt l'Allemagne et la Belgique ont leurs propres réglementations.
Architecture centralisée versus décentralisée : privilégiez une architecture centralisée avec un hub e-invoicing unique gérant tous vos flux, quelle que soit l'origine géographique. Cela évite la multiplication des outils et interfaces. Des plateformes comme EDICOM, Esker ou SAP DRC sont conçues pour gérer simultanément les réglementations de 60+ pays.
Gestion des spécificités locales : chaque pays impose ses propres exigences – formats différents (ZUGFeRD en Allemagne, FatturaPA en Italie, Factur-X/UBL en France), plateformes nationales obligatoires (SDI en Italie, KSeF en Pologne, PPF/PDP en France), mentions légales et règles de TVA spécifiques, et délais de transmission variables. Votre solution doit intégrer un moteur de règles capable d'appliquer automatiquement le bon format et les bonnes validations selon le pays destinataire.
Stratégie organisationnelle : définissez une gouvernance claire avec un Centre de Services Partagés pilotant la transition, des référents locaux dans chaque filiale assurant la conformité réglementaire locale, et une équipe IT centralisée gérant l'infrastructure technique.
Master Data Management : harmonisez vos données de référence (clients, fournisseurs, articles, codes TVA) entre tous vos sites. Les erreurs de données sont la première cause de rejet de factures électroniques.
Déploiement progressif : commencez par un site pilote en France (obligation 2026), capitalisez sur les apprentissages, puis déployez pays par pays selon les échéances locales. Comptez 18-24 mois pour un déploiement complet dans 5+ pays.
Comment traiter efficacement des milliers de factures par mois avec la facturation électronique ?
Pour les ETI traitant des volumes élevés (plusieurs milliers à dizaines de milliers de factures mensuelles), la facturation électronique devient un véritable projet d'automatisation industrielle.
Automatisation bout-en-bout : l'objectif est le touchless invoice processing (traitement sans intervention humaine) pour au moins 70-80 % des factures. Cela nécessite intégration API temps réel entre ERP et plateforme e-invoicing (pas de batch nocturne), validation automatique par règles métier (seuils d'alerte, workflows d'approbation intelligents), rapprochement automatique factures/commandes/réceptions (three-way matching), et traitement des exceptions par intelligence artificielle pour apprentissage continu.
Infrastructure technique dimensionnée : vos systèmes doivent supporter la charge avec architecture cloud scalable s'adaptant aux pics d'activité (fins de mois), redondance et haute disponibilité pour éviter les interruptions, monitoring temps réel avec alertes proactives, et SLA garantis par votre PDP sur les volumes et délais.
Gestion des flux entrants massifs : pour les factures fournisseurs, déployez des technologies OCR/LAD performantes (reconnaissance optique de caractères/lecture automatique de documents) avec taux de reconnaissance supérieur à 95 %, portails fournisseurs pour dépôt direct des factures électroniques, connexion EDI pour vos principaux fournisseurs (transactions en masse), et workflows d'approbation configurables par entité/projet/montant.
Pilotage et analytics : exploitez la richesse des données structurées avec tableaux de bord temps réel sur délais de traitement, taux de rejet, délais de paiement ; analytics prédictifs pour optimiser le BFR (Besoin en Fonds de Roulement) ; alertes sur factures bloquées ou en risque de retard ; et reporting automatique pour Direction financière et commissaires aux comptes.
Coûts à l'échelle : pour 10 000 factures/mois, budgétisez infrastructure cloud et PDP entre 3 000 et 8 000 €/mois selon niveau d'automatisation, investissement initial de 100 000 à 300 000 € pour intégration ERP et customisation workflows, et 2-3 ETP dédiés au run et à l'amélioration continue. Le ROI reste excellent : gain de 50-70 % sur coûts de traitement = économie de 200 000 à 400 000 €/an pour ce volume.
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